Optimistes / Pessimistes : les 4 leçons !

Cela remonte aux années -15000. Vos ancêtres et moi étions là, autour de cette gigantesque table ornée de verres en cristal. Nous portions un toast à la vie que nous allions implanter sur Terre, quand soudain, le serveur fut son entrée dans la salle…

Il avait des dizaines de bouteilles de Champagne Armand de Brignac, nous discutions pendant qu’il nous servait. Il se dirigea vers la sortie, puis se retourna et posa la question suivante :

« Votre verre est à moitié vide ou à moitié plein ? »

(Vous connaissez…)

Un sentiment mystère plana dans la pièce et dans nos esprits…

Qu’est-ce qu’il nous raconte ? Nous avons ensuite décidé de faire un tour de table, ce fut la stupéfaction…

Une partie pensait qu’il était à moitié vide et l’autre à moitié plein. Bizarre non ?

Nous avons dû retarder le projet de la vie. Nous nous sommes donné une cinquantaine d’années pour étudier le comportement d’humains en phase de test…

1. La prise de conscience : il y a deux groupes distincts…

Nous leur avons donné des noms plutôt barbares, les optimistes et les pessimistes.

La différence ?

Les pessimistes passaient beaucoup de temps à se plaindre, à se remettre en question, à ne pas croire en leurs projets. Il s’agissait des personnes qui n’osaient pas se lancer ni prendre de risque. Comme si à chaque mouvement, ils pouvaient tout perdre…

Leurs conversations avec les optimistes n’étaient pas toujours idéales, ils les catégorisaient de rêveur, de fou ou alors de chanceux quand tout se réalisait !

Ces optimistes correspondaient aux gens avec du recul, comme si un début de stoïcisme régnait. Comme s’ils avaient des valeurs de développement personnel de base, leur provenant de leur éducation, leurs fréquentations ou encore leur entourage.

Ils n’avaient peur de rien. Ils avaient confiance en leur capacité. Ils étaient prêts à échouer, en étant persuadé qu’ils pourraient se relever. Ils pensaient beaucoup de mal des pessimistes.

Pour eux, ils allaient regretter leur vie sur leur lit de mort, en se disant qu’ils n’ont pas osé suivre leurs ambitions ou leurs rêves. Aucun optimiste ne voudrait tenir ce discours.

2. Vouloir changer de groupe

Nous avons décidé ensuite de modifier ces personnes, de rendre une partie des pessimistes, optimistes.

Pour cela, nous avons pris les personnes unes à unes, leur expliquant qu’il n’avait rien à perdre dans tel ou tel domaine, qu’ils avaient la chance d’avoir 2 bras, 2 jambes, ou encore la parole, l’ouïe, la vue…

(Car rappelons-le, c’est souvent en perdant ces choses magnifiques que nous nous rendons compte qu’elles l’étaient. Commencez à les appréciez dès maintenant, c’est le secret du bonheur.)

Nous avons sélectionné une partie du groupe le souhaitant, en leur faisant comprendre qu’il ne fallait pas seulement le vouloir un jour dans la semaine, mais le vouloir à chaque instant ! Et y croire. Croire que c’est possible.

Ce fut un long travail sur eux, il a fallu détruire leurs barrières psychologiques, usé de l’autosuggestion. Mais nous avons réussi. C’est à votre tour.

3. Poursuivre ses rêves

Nous leur avons inculqué de nouvelles croyances et de nouvelles valeurs. Nous leur avons fait comprendre qu’au final, leur cerveau était comme un grand ordinateur qui stockait des données et que leur vie actuelle était le résultat de leurs croyances et pensées.

Nous leur avons fait comprendre qu’ils avaient une partie de responsabilité dans le négatif et le positif de leur vie. Que c’était à eux d’agir et que personnes le feraient pour eux…

Je suis sûr que vous avez vu de nombreux films magiques, puissants. Des films comme « A la recherche du bonheur » de Gabriele Muccino, des films qui vous ont fait réfléchir.

Mais votre problème est toujours le même, votre motivation ne dure pas sur le long terme ni vos actions (voir anti-procrastination).

Passez à la vitesse supérieure mes amis, maintenant.

Vous avez un rêve ? Faites la différence entre obstination et détermination.

Vous pouvez être obstinés à vouloir bouger une maison à la force de vos bras, si vous n’apprenez pas, ou ne changez pas de techniques, vous n’y arriverez jamais.

C’est là qu’intervient la détermination. Il s’agit d’apprendre de chaque échec et de se rendre compte que ça fait partie du chemin du succès.

On encaisse, on se relève, on recommence. Jusqu’à la bonne solution. On prend aussi la peine au préalable de poser ses objectifs, de faire un plan, quelque chose de clair, concis et un minimum terre à terre, au moins pour vous.

Le plus important est de toujours persévéré mais de ne pas ressayer la même chose 36 000 fois si ça n’a pas fonctionné !

4. Que voulez-vous avoir en tête à la fin de votre vie ?

Cette question eut la même réponse de tous nos humains, étrange ? Chacun d’entre eux voulait finir heureux, en ayant l’impression d’avoir accompli quelque chose, d’avoir fait ce qu’il rêvait et de s’être battu pour ce qui le faisait vibrer.

Prenez cinq minutes et regardez-vous.

  • Que voulez-vous de cette vie ?
  • Faites-vous votre maximum ?
  • Poursuivez-vous vos rêves ?
  • Si c’était votre dernier jour de vie, feriez-vous ce que vous faites aujourd’hui ?

Conclusion

Sachez qu’il n’est jamais trop tard. Il est encore temps de changer, il est encore de temps de vous donner à fond dans vos projets et objectifs.

Je vous demande donc de réfléchir bien à cela. Je vous demande d’oublier pour une fois, vos jeux, vos séries et vos vidéos en tous genres.

Je vous demande de penser à VOUS. À votre vie, à vos passions, à vos goûts. Je vous demande d’ouvrir bien grands les yeux, et de regarder cette vie, ces paysages comme si vous veniez d’avoir la vue…

Regardez toutes ces couleurs, ces reliefs, rendez-vous compte de votre CHANCE. De la force de vos sens, de votre personne. La chance de pouvoir manger, boire. La chance d’avoir reçu un minimum d’éducation, la chance d’avoir fait tel ou tel sport.

Mais avant tout la chance d’être en vie. Oui, vraiment.

Ne gâchez donc pas votre temps bêtement et allez de l’avant.

Le savoir vous permettra de voir plus haut, plus loin et vous réussirez étape après étape. Alors dévorez des livres, des encyclopédies, des conférences s’il le faut.

Persistez, continuez à apprendre, continuez à être meilleur jour après jour.

N’oubliez pas, « Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs. » – François Guizot

On se retrouve du bon côté,

Nicolas.

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